Une rencontre innatendue! [ PV Forceria ]

Forceria s'était assise sur un rocher au centre d'une petie plaine. Les pensées dans les nuages, elle n'avait même pas remarqué la présence du cheval. Dommage d'ailleurs car elle adorait les animaux, les chevaux en particulier. Ils avaient ce je ne sais quoi qui de magique. On avait l'impression qu'ils étaient capable de comprendre tout les problèmes humains. C'était peut être leurs yeux si grand ou la majesté de leur démarche. Ce qu'elle préférait, c'était les frisson. Mais qu'importe, un cheval était un cheval.
La jeune femme baissa un instant les yeux;

"Faut vraiment que je pense à arrêter de rêver comme ça.
Oh et puis à quoi ça me servirait de me plonger dans la réalité?
Tout ce que cette malédiction me force à faire."

Elle faillit pleurer mais se retint.

Je me demandais qui elle était je ne l'avait jamais vus dans le "paradis"!
Elle était en train de rêver , et elle avait l'air triste je me demandais à quoi elle pensait:
*Pensait-elle à quelqu'un, à queque chose* .
Je m'approchai plus d'elle , mais là je marchai sur une branche qui se cassa et fit du bruit! Je restai immobile....

Elle se leva en un bond et regarda la plaine. Un cheval, un simple cheval. Pourquoi avait-elle eut peur pour si peu? Non, en fait elle le savait. Elle priait pour que ce ne soit pas un humain. On ne sait jamais si elle devenait... violente. Avec les animaux la malédiction ne marchait pas. Forceria s'approcha un peu du magnifique animal. Pourvu qu'elle ne lui fasse pas peur.

De toute évidence, ce cheval n'avait pas vraiment peur d'elle. Il ne donnait pas l'impression d'avoir un jour été dressé. Forceria continua à s'approcher sans faire de mouvements brusques. Elle avait eut l'occasion il y a bien longtemps de faire un peu d'équitation. Bien sûr, ce qu'elle préférait, c'était étrier les chevaux dans leur box. Ou bien les regarder galoper dans un pré. Elle tendit la main vers le bout du nez de l'animal. S'il le voulait bien, elle pourait sans doute lui caresser aussi le chanfrein, le fron et pourquoi pas l'encolure.
Forceria se mit à le caresser. Il paraissait vraiment gentil. Eh oui, c'était un mâle. Du premier coup d'oeil s'était visible.

"Tu es vraiment magnifique tu sais.
Ca fait bien longtemps que je n'ai pas vu un cheval.
Je me demande pourquoi d'ailleurs, j'adore ça.
Au moins vous pouvez me comprendre vous.
Je suis tellement plus calme avec vous.
Pas comme avec les humains.
Ils ont l'air de démons.
Le pire, c'est qu'ils sont tellement innocent.
J'aimerais vraiment ne pas avoir à les tuer."

Elle serra le poing.

Je ne comprenais pas bien ce qu'elle voulait dire elle n'avait pas l'air ni une fairy, ni un démon , ni un ange! A moins que se soit un ange , un peu spécial!
Ja la laissé me carresser sans broncher , je voulais en apprendre plus sur elle sur son histoire!
*je me savais pas aussi curieux!*
Mais elle avait l'air si triste que je restai là...

Forceria n'avait vraiment pas l'habitude de parler comme ça, mais il fallait avouer que c'était très agréable de se confier à quelqu'un qui ne lui ferait pas de mal et qu'elle n'allait pas finir par tuer un jour ou l'autre.

"Pour un ange je suis vraiment pitoyable.
Incapable de protéger les humains comme je devrais le faire.
Pourquoi a-t-il fallu que je sois la cible de cette satané malédiction?
Tout ce que j'aime partent un par un.
Le pire c'est de voir leur visage.
Kazuke, Suzaku, Chiaki, Mistuki, Shio, Dark...
Pourquoi n'ont ils pas été assez fort pour m'empêcher de leur faire du mal."

Tout ce qui entendaient ce qu'elle venait de dire la traitaient de folle ou sinon voulaient eux même la neutraliser. Bien sûr cela ne servaient à rien car ils finissaient tous six pieds sous terre.

Que voulait-il savoir de plus? Forceria ne savait pas vraiment quoi faire. Elle continuait à caresser le cheval en face d'elle.

"Je me demande bien comment tu t'appelles toi."

Changement de sujet éclair, elle était une spécialiste de ça.

"Tu sais que tu me rappelles une jument que j'ai connu dans le passé?
Elle s'appelait... attend que je me souvienne.
...
Ça y est, je sais Téquila.
Drôle de nom c'est vrai mais elle était tellement gentille.
Pas une fois elle n'a mordu ou même désarcené un homme.
Ahhh, c'était le bon vieux temps.
Lorsque ma vie m'appartenait vraiment.
Maintenant une fois sur deux je suis incapable de contrôler mes mouvements.
A tout moment je peux perdre le contrôle, c'est vraiment affreux."

Elle passa les bras autour de l'encolure du cheval et se serra un peu contre lui. Les larmes lui montèrent aux yeux. Au début des larmes normales, puis des larmes de sang. Cela faisait un certain temps que rien ne s'était passé et la maldiction n'allait sans doute pas tardé à refaire surface. Sûrement ce soir vers les minuit. Mais il lui restait encore pas mal de temps encore. En se rendant compte que ses larmes étaient faite de sang, elle se recula. Il ne fallait pas que le sang se dépose sur la robe de l'animal. Elle essuya ses larmes du revers de la main. Il fallait qu'elle arrête de pleurer tout de suite. Forceria sortit de son petit sac un moucjoir et une petite bouteille. Elle mit un peu de liquide sur le mouchoir et se mit à retirer le sang sur elle. Le liquide avait une odeur un peu forte, mais c'était tout ce qu'elle avait trouvé.

"Si tu veux savoir mon nom, c'est Hugues"
j
Je ne pus pas m'empecher de dire mon nom mais une forte odeur de sa bouteille et je commencais à tousser et je fus obliger de reprendre ma forme de fé! Tout en me demandant pour quoi elle pleurait du sang?

Forceria fit un bond. Un cheval qui parle? Non, impossible, les animaux ne parlent pas. Lorsqu'il se transforma en fée, elle recula d'un pas. Il ne fallait pas qu'elle soit en contact avec un être vivant aujourd'hui. Même si elle ne le connaissait pas elle ne voulait pas avoir à le tuer.
Attend un peu... elle avait parlé d'elle au cheval. Et si le cheval était une fée.
C'est qu'il savait tout d'elle, de sa malédiction.

"Enchantée."

On voyait qu'elle tenait de garder ses distances. Comportement totalement différent de celui qu'elle avait adopté avec le cheval.

je vis tout de suite qu'elle avait peur de moi (ou de ce qu'elle pouvait me faire !)
Alors je lui demandai:
"En fait qu'lle est ton nom? Et qui est-tu ?

"Euhhh...
Je...
Je m'appelle Forceria et je suis un ange."

Elle ne savait pas trop quoi répondre de plus au jeune homme devant elle.

"H...
Hugues?
Pourquoi êtes vous resté transformé en animal durant tout ce temps?"

La réponse était flou à son esprit. Forceria se calma un peu. Il ne fallait pas qu'elle ai peur de lui non plus. Dès qu'elle sentirait qu'elle avait envie de le tuer elle partirait sans donner d'explications.
Mais...
Enfin, il avait entendu ce qu'elle avait dit tout à l'heure alors il devrait comprendre.

je la regardai et lui répondis:

"Car je savais que si tu savais que j'était un fé tu ne m'aurais rein dit ! Mais si tu m'en dit plus sur ta malédiction , on pourra faire quelque chose, on ne sait jamais!"

Je voyais bien qu'elle s'était un peu calmé , mais je savais pas si elle allait accepté

"Personne n'a jamais rien pu faire contre cette malédiction.
Certains ont bien essayé pourtant.
Même si c'est dur à supportait on finit par se résigner."

Forceria fit un petit sourire. Tout allait bien pour l'instant alors il serait plus agréable de sourire.
La jeune femme s'approcha un peu de Hugues.

Je lui répondis :
"Mais, tu sais si tu perds espoir , ton probléme ne se résoudra jamais! "
Et je m'approchai plus prés d'elle et je m'empressai d'ajouter :
"S'il te plaît, dis moi en plus si tu veux que je t'aide, on ne sais jamais je pourrai peut-être quand même t'aider!"

"Qu'est ce que je pourrais te dire?
On m'a jeté cette malédiction lorsque j'étais petite.
Et les seules à connaître les détails sont mes parents..."

Elle baissa un peu la tête.

"Et... ils sont mort de ma main comme tous ce que j'aimais.
C'est la première fois que la malédiction c'est manifesté.
Au départ je pensais que cela serait la seule fois.
Je pensais que j'étais devenue folle, mais je ne me doutais pas de l'énormité de la chose.
Dès que les gens ont essayaient de m'aider... ils sont mort avant de trouver quoi que ce soit.
J'en déduis donc que quiconque commence à enquêter sur cette malédiction est voué à la mort.
Après...
Je peux seulement dire que la personne qui m'a lancé cette malédiction doit soit m'avoir oublié, soit être morte. Dans le premier cas, on pourra toujours me délivrer.
Mais dans le deuxième cas... je resterais comme cela jusqu'à la tombe."

Forceria respira un peu pour se redonner du courage. Parler de la mort n'était pas difficile pour elle, mais à chaque fois qu'elle le faisait certains visages revenaient à sa mémoire.

"Par moment des larmes de sang se mettent à couler.
C'est le signe que la malédiction va bientôt faire son oeuvre.
On peut être sûr que si je tombe sur un être ressemblant à un humain, celui ci n'aura aucune chance d'y survivre.
J'ai déjà essayé de résister mais rien n'y a fait.
Mon corps entre en transe ou quelque chose comme cela.
Je ne peux plus le contrôler.
Lorsque je suis à nouveau mettre de mes mouvements les personnes sont généralement dans un état dont je ne préfère même pas parler.
Lorsque je commence à m'éloigner le sang sur ma peau et sur mes vêtements part.
Selon moi, il est aspiré par moi.
C'est par les larmes que ce sang sort, du moins je crois.
Je n'ai jamais comparée mon sang à celui de mes larmes."

Je la regardai avec étonnement et lui posai encore deux question :
" Et qui exactement t'as lancer cette Malédiction? Et pourquoi ?
Je savais qu'elle pouvait m'attaquer à tout moment mais j'étais près et je pouvais à touinstant utiliser la magie pour l'empècher de me tuer !

Cette malédiction avait l'air tenace, et difficile à contrer mais je voulais absolument l'aider !
Alors je lui dit :
"Je vais esseyer de mener une enquéte pour savoir ce qui s'est passer et si jamais , j'apprend quelque chose de neuf je te préviendrais !Et peut-être que je parviendrais à t'aider !"

"Je vous remercie, mais...
Même si je ne vous connais pas très bien je ne veux pas qu'il vous arrive malheur.
Et si vous faites cela...
J'ai peur que cette malédiction me force à vous tuer."

La jeune femme prit un air triste.

Je ne put m'empêcher dire :
"Mais j'aime aider les autres , et n'ayez pas peur pour moi !"Mais encore une derniére chose où est-ce que cela c'est passer et où se passait cet mission dont vous venez de me parler ?"
Je la regardai avec un air résolu !
Puis j'ajoutai:
"En fait tu peux me tutoyer !"

"La mission?
Je ne sais pas...
Mes parents étaient les seuls à être au courant de tout dans l'équipe.
Tout ce que je peux dire c'est que la mission se passait dans une immense forêt.
Lorsque je me suis enfuie, j'ai mit un sacré bout de temps avant d'apercevoir un signe de vie.
A l'époque j'aurais dû faire plus attention à où je me trouvais.
Mon esprit était tellement... confus.
Tout ce à quoi je pensais était de fuir, fuir loin des cadavres de mes parents.
La malédiction peut se mettre en marche n'importe où.
Qu'il y ai des humains ou pas à proximité.
Mais elle ne s'arrête que lorsque je tue.
Du moins c'est ce que je crois.
Je pense que si je me fais bat..."

Forceria se recroquevilla soudain en poussant un petit cris de douleur.

"Pas maintenant."

Ses canines poussèrent de quelques millimètres et ses yeux devinrent rouge comme le sang. La jeune femme serra des dents. Il fallait qu'elle s'éloigne tout de suite pour qu'il n'arrive rien à Hugues. Elle se leva en titubant et fit apparaître trois paires d'ailes d'un blanc pure et transparent.

"Il faut que je parte."

Au moment où elle allait s'envoler son coeur laissa se propager en elle une vague de souffrance. Forceria tomba à genoux, les mains serrées au niveau de sa poitrine.

*Pourquoi faut-il toujours que ça se passe comme ça?!*

Son regard se posa sur le jeune homme qui l'accompagnait. Elle ne voulait pas lui faire de mal. Pas lui, elle venait de le rencontrer mais elle tenait déjà à lui. Pourquoi était-elle forcé de lui faire ça. Cette fois ci les larmes qui coulèrent étaient transparente comme l'eau d'une rivière. Ces larmes étaient les siennes, pas celle de la créature qu'elle devenait lorsque la malédiction s'éveillait.
Son corps détendit d'un cou et sa tête se baissa, comme si Forceria ne pouvait plus en supporter le poids.
Sur son visage apparut un sourire des plus inquiétant. Elle tourna à nouveau la tête en direction de Hugues, mais cette fois ci, ce n'était plus pour pleurer.
Elle n'était plus elle même. Dans son yeux rouge on pouvait le visage de tout ceux qu'elle avait tué, mais surtout prit plaisir à tuer.
Si on regardait plus loin, beaucoup plus loin, on pourrait peut être apercevoir l'âme de Forceria se débattre contre elle même.